La vie parmi les derniers utilisateurs de Google+

                         

La vie parmi les derniers utilisateurs de Google+
Cette semaine, Google a annoncé que les consommateurs connus sous le nom de Google Plus - sa tentative d'optimiser Facebook et Twitter sur les réseaux sociaux - entreraient discrètement dans cette bonne nuit d'août prochain. (Une version d' entreprise existera toujours.) Une violation de données sur la plate - forme, le New York Times a rapporté , était assez mauvais que les ingénieurs de l'entreprise ont décidé qu'il était pas los angeles peine de garder plus en vie. Bien que l.  A. Violation ne touche que la moitié d' un million d' utilisateurs, et alors que Google dit qu'il n'a pas révélé des données vulnérables, dans le weblog officiel de l'entreprise , Google vice - président de l' ingénierie Ben Smith écrit que « los angeles version grand public de Google+ a actuellement une faible utilisation et engagement: ninety% des periods utilisateur de Google+ durent moins de cinq secondes. "

Alors ça va. Aux yeux de la concurrence, Google Plus était mort à son arrivée à l'été 2011: il s'agissait de los angeles quatrième (quatrième!) Incursion de l'entreprise dans les réseaux sociaux, difficile à utiliser et à comprendre, et elle ne semblait pas avoir de however au-delà de Google prétendant avoir encore plus d’espace en ligne. (Exemple: en 2014, le New York Times signalait que Plus comptait 540 hundreds of thousands d'utilisateurs actifs par mois, mais que près de los angeles moitié n'en avaient même pas visité le web site.) Au cours des sept dernières années, le provider est devenu complètement différent était à l'origine - Hangouts, Streams et Photos ont été scindés en produits séparés en 2015 - avant de devenir los angeles ville fantôme numérique qui en est l'incarnation actuelle.
Mais pour certains, c'était chez eux.
« Je serai triste de le voir aller, » Dan Woods, qui travaille à Mentalement amical, une agence de layout situé à Sydney et Canberra, raconte The Verge dans un courriel. Au début, il aimait Plus parce que son software cell pour les pics était bonne: «Elle offrait un montage non destructif, une recherche floue et la plupart des fonctionnalités qui se retrouvaient dans Photos depuis 2013», explique-t-il.

Un autre tirage au kind: les cercles Plus, los angeles façon dont le produit a regroupé les personnes. «J'ai également aimé partager avec un groupe assez big de personnes (amis d'amis) sans que cela soit public par défaut», poursuit Woods. «La métaphore des cercles avec laquelle g + a lancé me semblait être une answer trop complexe à un problème très réel qu'aucun autre website de réseau social n'a réussi à résoudre depuis (remark diffusez-vous de manière significative vers des publics très différents sans des comptes différents?)."

“UNE SOLUTION TROP COMPLEXE A UN PROBLEME TRES REEL QU'AUCUN AUTRE SITE SOCIAL N'A REUSSI A RESOUDRE DEPUIS”
Plus avait apparemment été conçu pour résoudre ce problème d’effondrement du contexte: les cercles mentionnés par Woods regroupaient différents kinds de family members (évoquant vaguement les sphères, ou «espaces de coexistence», décrits à la fin des années 90 et au début des années 2000 par le philosophe Peter Sloterdijk ) . Un cercle peut contenir vos amis les plus proches, tandis qu'un autre peut être destiné à votre famille. Google Plus facilite los angeles diffusion de différents messages à chaque groupe. “Maintenant que le carrier a été en grande partie oublié, les gens qui continuent à poster sur g + le font principalement avec de petites communautés (par exemple, trey ou wayne ou paul fordshitposting) », poursuit Woods. "Pour autant que je sache, c'est généralement sans troll, et les conversations ont tendance à être plus lente et plus large que celle de leurs homologues de Twitter."

Les autres utilisateurs ne sont pas disposés à abandonner sans combattre. Quelques utilisateurs ont lancé des pétitions Change.Org; on a même reçu, à ce jour, plus de 22 800 signatures . Lizzy, los angeles femme qui a lancé cette pétition, écrit qu'elle l'a créée pour ne pas perdre les amis qu'elle a rencontrés sur Plus. "Je passe le plus clair de mon temps sur Google Plus et je ne sais pas ce que je ferais sans lui", poursuit-elle. Beaucoup d'autres personnes ont donné des raisons similaires pour signer l.  A. Pétition . “Je suis sur ce website online depuis 2k13. Google + est une maison pour moi et je ne peux pas m'imaginer sans g +. Je me suis fait des amis formidables ici [ sic] ", A écrit l'utilisateur # swaggin out. «C’est la seule plate-forme de médias sociaux que j’apprécie», a déclaré Mike Kuzmitsky, utilisateur. «Ce n'est peut-être pas un web page extraordinaire, mais IT DAMN en a vraiment envie. Alors, pourquoi devrais-je déménager? ”A demandé l'utilisateur Buruburedo Boudreaux.

Gary Suarez, auteur-compositeur de musique, considère Plus comme un outil permettant d'améliorer son classement dans les recherches Google et d'accroître la visibilité des histoires qu'il publie. Il a commencé à expérimenter avec ce logiciel tout en travaillant dans l'édition de livres, une industrie qui avait hâte d'essayer de nouveaux produits qui pourraient aider à mieux faire connaître leurs livres.

«Nous étions en educate d'établir une présence sur Twitter, d'utiliser Facebook et de commencer à comprendre le contenu vidéo», a déclaré Suarez à The Verge . « [Puis] Google Plus montre soudainement. » Ils ne savaient pas quoi que ce soit à ce sujet, mais il semblait vital - après tout, il était Google, et il pourrait aider à l.  A. Recherche.

"Nous avions surtout l'impact que, si nous utilisions Google Plus, nous serions récompensés d'une manière ou d'une autre sur google.Com", a-t-il déclaré dans les classements relatifs aux recherches. Classement des liens Facebook sur sa plateforme. (Techniquement, à son apogée, Google+ était fréquemment utilisé par les entreprises, les auteurs et les blogueurs pour améliorer leur référencement .)

«Je tiens à souligner que je n'ai jamais vraiment utilisé Google Plus en tant que plate-forme de médias sociaux», déclare Suarez. «Cela ressemblait beaucoup à un endroit pour partager du contenu et conduire quelqu'un d'autre.» Bien qu'il affirme n'avoir jamais vraiment vu Plus faire quoi que ce soit pour les histoires qu'il a promues, il était superstitieux et il utilise toujours le provider aujourd'hui. Plus paranoïa que tout. "Vous savez, comme les gens ont de petites habitudes - ils ne passent que par le même tourniquet tous les jours pour aller au travail, et s'ils changent d'habitude d'une manière ou d'une autre, cela pourrait peut-être changer les choses négativement pour eux." Néanmoins, il ajoute: "Je ne pense pas que ça va me manquer.

Après los angeles domination de Facebook sur Internet social à los angeles fin des années 2000, il était devenu beaucoup plus difficile de lancer de nouveaux services de médias sociaux, vehicle les envies de la plupart des gens de réseauter avaient déjà été satisfaites (et façonnées) par Facebook. Quiconque souhaitait faire face à l.  A. Concurrence devait se distinguer, puis se battre contre les acquisitions incessantes de Facebook et son équipe produit agressive. Une à une, de nouvelles startups ont été lancées puis sommairement tirées du ciel - par acquisition, par des bases d'utilisateurs inexistantes, par une croissance trop lente. Peach, MySpace et même Vine sur Twitter sont passés par là; RIP, tous vos soldats tombés au combat.
Et c’est la façon dont se terminent les services de réseaux sociaux: quelque element entre un bang et un gémissement. Dans de nombreux autres commentaires relatifs à la pétition Change.Org de Lizzy, des personnes ont répété que Google Plus était supérieur à Facebook - car il lui manquait le drame de la plus grande plate-forme, parce qu'il ne souhaitait pas passer à Facebook, ou plus simplement, De plus, c'était là où étaient leurs amis.
Faire défiler les milliers de commentaires est étrange, car il montre que même les communautés sociales négligées par les ingénieurs et les administrateurs peuvent prospérer - mais cela est également instructif, car ce même défilement révèle également le however d'un réseau social: un espace pour les gens à se connecter. C'est plus vital pour les utilisateurs que les rondes de financement, le nombre mensuel d'utilisateurs actifs ou los angeles croissance. Les communautés restantes de Google Plus pourraient même être en meilleure santé que leurs homologues de Facebook et Twitter - enfin, en meilleure santé en dehors de leurs racistes inévitables , qui sont au moins relativement bouclées par les petits cercles stables et concentrés de Plus. Comme nous l'avons vu sur d'autres plateformes, connecter le monde entier n'aurait peut-être pas été un si bon objectif, après tou                                                                                                                                                                            cite de lutilisatteur pour expllquer ICI                                                                                                            (archives;youtube-Wikipédia-Internet-Google)